Triathlons et Cols Mythiques

Petites et grandes aventures sur les plus beaux triathlons de France et cols mythiques du Tour

Triathlons

Triathlon d’Aydat 2019 – Distance M – Bienvenue en Auvergne !

Longue hésitation entre une 4ème Ardéchoise d’affilée (après 2016, 2017 et 2018) et le triathlon d’Aydat 2019. Mais l’appel du triple effort a coiffé le folklore Ardéchois sur le poteau.

Prochaine échéance triathlon trop lointaine (fin Août), l’envie de découvrir l’Auvergne, une terre totalement inconnue et pourtant si proche, et voici une date totalement improvisée au calendrier. Une première date ajoutée au calendrier d’origine de 2019.

Triathlon d’Aydat 2019 – Les présentations

Après le parc régional des Ballons des Vosges, on passe au parc régional des Volcans d’Auvergne. Nous sommes à une vingtaine de kilomètres au sud de Clermont-Ferrand, pas très loin du Massif du Sancy.

Le triathlon d’Aydat 2019 ce n’est pas une mais 5 courses : 2 le Samedi et 3 le Dimanche, plus de 1000 concurrents sur l’ensemble des épreuves. Pour la distance M, la mienne, le départ sera donné le Dimanche 23 juin 2019 à 11h30. Une très belle journée ensoleillée et le début des premières chaleurs avant une canicule qui s’annonce pour la semaine suivante.

Nous arrivons dès le samedi matin pour profiter d’un petit week-end au vert en famille. Et tout au long de cette journée, je ne vais cesser de me réjouir du choix que j’ai fait. Ce triathlon correspond exactement à ce que je recherche : un cadre magnifique, une ambiance conviviale, un parcours vallonné, bref j’espère que la course sera aussi appréciée que l’avant-course.

Une petite après-midi fort agréable dans la piscine chauffée du camping à 28°C pour une température extérieure de 20, il n’en sera pas de même le lendemain donc autant en profiter.

Pas souvent l’occasion de le faire, je peux récupérer mon dossard la veille. C’est toujours cela de gagné pour le lendemain et pouvoir se préparer tranquillement sans ces formalités. Un petit tour pour repérer les lieux et apprécier comme spectateur les concurrents de la distance S.

Triathlon d’Aydat 2019 – L’avant-course

Après une bonne nuit au calme de l’Auvergne, le réveil se fait en douceur puisque la course ne partira qu’à 11h30. Je devrais regagner le parc de départ vers 10h.

Petit-déjeuner pain, céréales, pâtes. Comme à mon habitude, je prendrai une bonne part de gâteau énergétique 1h-1h30 avant la course et une banane pour compléter ce repas matinal.

On vérifie le paquetage du triathlète, on veille à ne rien oublier. C’est toujours la petite angoisse en triathlon, mais, en habitué, j’ai ma petite liste. Cela me permet d’être serein et d’éviter du stress inutile.

9h50, arrivée sur le parc de transition vélo pour commencer à s’installer. J’adore le lieu, c’est sans doute un de mes parcs préférés depuis que je participe à des épreuves. Une belle pelouse bien douce pour mes petits petons, nickel.

Triathlon d'Aydat 2019 : parc de transition

Seul inconvénient, interdiction de rentrer les sacs sur le parc, il faut donc tout sortir et tout prendre à la main : combi, lunettes, chaussures vélo, serviettes, ceinture + dossard. Du coup, je mets également la crème anti-frottement pour la natation (cou + aisselles). J’avais également mis de la crème solaire avant de partir car il va faire chaud, très chaud, attention aux coups de soleil !

D’ailleurs, la température est déjà bien élevée en cette matinée et je ne vais pas traîner sur le parc, je me réfugie vite à l’ombre une fois mon installation réalisée.

L’objectif du jour

Parlons un peu objectif sportif. D’abord, je suis passé au dopage technologique. Pas vraiment pour la performance en réalité. J’ai surtout de nouveau trop souffert le 12 mai 2019 lors du triathlon du Beaujolais. Je ne veux plus avoir froid dans l’eau, j’ai donc investi dans une vraie combinaison de triathlon, un petit investissement à 200 € tout de même (modèle ORCA S7). Au bout de 7 années de triathlon il était temps 🙂 Même si elle ne doit pas servir pour 7 ans de plus, ce n’est pas grave, je ne supporte plus d’avoir froid lorsque les conditions sont difficiles, moi le frileux.

Pour cette fois elle sera bien utile, l’eau étant un peu fraîche, 18,8°C à 9h30.

Côté classement, les dernières années, je m’étais fixé le top 100. Cette année, je me suis fixé le top 50, en tout cas sur les épreuves régionales. Pour des épreuves internationales comme le Ventouxman en septembre, avec plein de caïds au départ, un top 100 sera déjà un objectif inabordable.

Voilà pour l’objectif sportif, on passe à la préparation de la course.

11h, l’heure de se diriger vers la plage de départ. Ensuite, il faut passer par la nouveauté, enfiler la combinaison néoprène. C’est un premier exercice et ce n’est pas le plus évident. Ne pas endommager la matière, bien tirer sur la combinaison de l’intérieur de préférence pour qu’elle soit parfaitement raccord avec le corps.

Triathlon d'Aydat 2019 : en route vers le départ

Prise de contact avec les eaux du lac d’Aydat, c’est frais ! Je sens de suite que j’ai changé de cylindrée au niveau de l’équipement. L’investissement semble justifié, ma combinaison n’est pas une passoire et je sens encore plus la flottaison et moins le froid.

Triathlon d'Aydat 2019 : échauffement d'avant-course

Un triathlon improvisé, 3 semaines d’arrêt de natation, 2 séances d’entrainement à la hâte cette semaine, pas sûr que la combinaison suffise à combler le manque de forme.

Triathlon d’Aydat 2019 – Distance M – La course

Dégoût profond des départs natation, je vais laisser partir devant pour m’élancer tranquillement ensuite.

11h30 la corne retentit, c’est parti pour 2h45 d’effort, et on aime ça !!!!

Triathlon d'Aydat 2019 : Départ de la course - natation

La natation

Trouver un coin tranquille pour nager sans se préoccuper de ce qui se passe autour est le premier objectif. Ensuite, concentration sur les fondamentaux : respiration régulière, mouvement des bras, allongement.

Il faut d’abord aller de l’autre côté du lac chercher la première bouée, et croyez-moi, elle est loin (au fond du lac sur la droite de la photo) !!!

Je nage régulièrement même si je n’ai pas les moyens d’augmenter la cadence des bras compte tenu du manque d’entraînement. Néanmoins, je trouve que je me débrouille pas si mal.

Comme à mon habitude, j’ai toujours autant de mal à garder mon cap. J’ai cette fâcheuse tendance à dériver vers la gauche. D’un côté, c’est bien car j’évolue seul sans être gêné. D’un autre je ne suis pas sûr que ma trajectoire soit optimale puisque je dois sans arrêt rectifier le cap, sorte de nage en triangle.

12 minutes pour virer à la première bouée, nous ne devons pas être si loin de la mi-parcours, cela me donne de la confiance pour la suite, c’est bien.

Demi-tour et nous entamons le chemin retour.

Natation : chemin retour

Rien à signaler, la suite du parcours se déroule selon le même scénario que le trajet aller. J’ai l’impression de n’être pas trop mal placé dans le peloton même s’il n’est jamais simple de se repérer. Mais la sensation n’est pas la même que d’habitude.

Je sors de l’eau au bout de 25min50sec, un temps jamais réalisé en triathlon et de très loin (plus de 2 min je pense). A l’arrivée, après croisement des infos, il s’avère que nous avons fait +/- 1600m, c’est donc très très satisfaisant.

Triathlon d'Aydat 2019 : sortie natation

Retour au parc de transition en courant et en prenant soin de retirer le haut de la combinaison comme d’habitude. Un retour qui ressemble au triathlon du lac des Sapins avec une course à pied très très longue.

Transition T1 : natation / vélo

Les organisateurs sont vraiment des anges. Ils ont même disposé des tapis sur toute la longueur de ce chemin retour. Du vrai bonheur pour nos pieds sensibles 🙂

Je me suis bien renseigné sur les sens de circulation dans le parc de transition. Par conséquent, je regagne mon emplacement n°281 sans aucune hésitation.

Au passage je jette un oeil sur le parc de transition. Malgré tout, il semble qu’il manque déjà pas mal de machines, je doute un peu de mon impression dans l’eau comparée à la réalité du parc.

Petit moment de panique, je ne retrouve plus ma seconde chaussette, je perds quelques secondes à la retrouver, emmêlée dans mes serviettes. J’ai bien cru devoir partir sans. Je lance Strava pour l’enregistrement vélo pour ne pas le faire devant les arbitres et éviter toute remarque.

Et, go, go ,go, en route pour, espérons-le, la traditionnelle et belle remontada à vélo. Je n’ai aucune idée de ce qui nous attend. Hormis regarder les cartes, je ne vais jamais repérer les parcours même lorsque j’arrive la veille. Je trouve cela plus facile de rouler vers l’inconnu.

Triathlon d'Aydat 2019 : départ vélo

Le vélo

Ce que je sais en revanche, c’est que dès la sortie du parc de transition ou presque, nous commençons par une première côte sévère de 2 km à 8% de moyenne.

Il faut donc rapidement se mettre dans le rythme de l’effort en côte sans trop en vouloir.

Je passe cette première bosse à un bon rythme. Je pense avoir déjà repris bien 25 concurrents.

Nous allons maintenant entamer une longue descente de 8 kilomètres jusqu’au pied de la prochaine ascension. En effet, le parcours a la particularité d’être composé que de montées et de descentes sur une boucle de 20 km à parcourir 2 fois. C’est original et cela me convient bien.

Dans cette descente sans gros pourcentages, il me manque cruellement un autre ingrédient du dopage technologique : le 52 dents ! Ma grosse plaque de 50 dents est en effet trop juste dans ces situations. Je vois donc les Ferrari et les Mercedes du triathlon me doubler.

Dans un virage, j’entends un objet tomber à terre, sur le coup je crois avoir perdu un bidon. Finalement plus loin je m’apercevrai qu’il s’agissait en fait de ma pompe.

Fin de la descente, changement de braquet et on part pour 7 kilomètres d’une longue ascension pas trop pentue et plutôt régulière.

Les sensations ne sont pas folles. Mon rythme est correct mais j’en espère davantage. L’aspect positif, ce sont les concurrents qui défilent et la remontada est en marche !

Personne ne revient de derrière, ça reste un indicateur positif malgré tout.

En haut de la côte, on repart pour….. Une descente si tu as bien suivi !

Nous reprenons la descente déjà empruntée. Contrairement au 1er tour, je vais la jouer stratégique. N’ayant pas ce qu’il faut en terme de développement, je vais garder un bon rythme mais sans forcer et en profiter pour me reprendre. Pas grave si je laisse quelques secondes et quelques concurrents me prendre quelques mètres, on verra bien si dans la grimpette on peut revenir.

Au second passage du fameux virage où j’ai abandonné ma pompe, je ralentis pour demander aux spectateurs s’ils ne l’ont pas récupérée. Pas grave, cela fera marcher le commerce, je me remets en route !

2ème passage de la grosse bosse. Mes sensations sont meilleures, j’ai l’impression d’avoir un meilleur coup de pédale et une respiration plus maîtrisée.

Je double toujours des concurrents même si on est loin du départ et que cela ne se fait plus par gros blocs. Mine de rien, je n’ai pas fait le décompte mais depuis le départ j’en ai vu des vélos !

Fin des difficultés, on bascule pour un retour vers le parc de transition. Petit passage devant le photographe qui a bien failli lâcher l’appareil en me voyant. Il faut dire que je suis un peu cinglé et donc une acrobatie dans un virage à 60km/h ça surprend ! A la bifurcation 1er tour / 2ème tour, le seul abruti qui ralentit pour demander son chemin c’est moi, et d’ailleurs je me demande bien pourquoi. 1er tour tout droit, 2ème tour à droite, ça me paraît clair comme consigne, vous ne trouvez pas ? Que voulez-vous, on ne refait pas un gars qui hésite tout le temps entre droite et gauche…

Transition T2 : vélo / Course à pied

Arrivée sur le parc de transition, la fraîcheur est encore bien présente, pas de sensation de fatigue, de bonne augure pour les 10km de course à pied.

Triathlon d'Aydat 2019 : fin vélo

La vision est déjà plus séduisante. J’évalue à environ 30-35 vélos déposés sur le parc, je suis donc bien en route pour mon objectif top 50, salut les p’tits clous ! 😄

Triathlon d'Aydat 2019 : transition vélo course à pied
Ca se voit qu’il y a moins de vélo, non ? 🙂

La transition la plus rapide : dépôt du vélo, retrait des chaussures et du casque, enfilage des baskets, on prend la casquette pour la chaleur et c’est reparti ! Sans oublier de retourner son dossard pour les arbitres (derrière à vélo, devant en course à pied).

Triathlon d'Aydat 2019 : départ course à pied

Course à pied

Triathlon d'Aydat 2019 : Départ course à pied

Dans un premier temps, il faut prendre son rythme de respiration et dérouler de façon relâchée. Les sensations sont correctes, à la faveur de la première petite bosse, je double 2 premiers concurrents. J’en ai d’autres en point de mire, c’est bien pour la motivation, à condition qu’ils ne soient pas trop forts 😉

Premier ravito derrière le camping où nous avons logé, l’occasion de prendre 2 petits verres d’eau, l’un à boire, l’autre pour se rafraîchir.

A la faveur des petites côtes de 100-200m sur la 2ème moitié du parcours je reprends quelques concurrents. C’est toujours un bon indicateur puisque c’est en règle générale un de mes points forts. C’est donc que les choses se passent plutôt bien. Première indication de classement, un spectateur nous souffle 27 et 28ème place. Au regard des points de mire, j’ai donc le top 25 à portée de guibolles. Mais encore faut-il qu’elles répondent encore 6km !

Fin du premier tour, pas de lourdeur ou de douleur dans les jambes, un bon relâchement, c’est très positif. Ceci dit, longueur et intensité de l’effort peuvent très vite inverser cette tendance. Une bonne idée je me recharge avec une dernière pâte de fruits, histoire de remettre un peu d’énergie dans le moulin.

Triathlon d'Aydat 2019 : course à pied, ravitaillement 1er tour

C’est reparti pour une nouvelle boucle de 5km, le tour du lac d’Aydat tout simplement.

Après avoir dépassé et abandonné quelques concurrents, je suis maintenant bien installé dans le top 25. Sur la seconde boucle, se repérer est beaucoup plus difficile car les concurrents dans leur première boucle côtoient ceux qui en finissent avec le parcours. J’essaie donc de repérer les bracelets distribués au passage du 1er tour pour savoir si j’ai encore des places à grappiller.

Depuis le début de la course, j’ai la bonne attitude, je suis dans ma bulle, concentré uniquement sur mon sujet et mon effort. Le reste doit être une résultante et non pas une finalité.

Je retrouve cette façon de courir des années précédentes pour ma plus grande satisfaction. C’est comme cela que ça fonctionne le mieux.

Je poursuis ma route, les 2 dernières côtes sont un peu plus dures, mais c’est normal nous approchons les 2h30 d’effort. Et elles sont dures pour tout le monde je ne suis pas une exception.

Ça y est 500m de l’arrivée le retour est une descente dans laquelle je peux savourer tout en dépassant un dernier concurrent qui ne va pas chercher à résister.

Je passe la ligne d’arrivée avec une fraîcheur rarement rencontrée.

Triathlon d’Aydat 2019 – distance M : résultats et classements

Temps scratch : 2h28min50sec

Classement scratch : 16ème sur 315 finishers (25 abandons, 10 non-partants)

=> Catégorie Vétéran masculin : 3ème / 50

=> Classement par discipline :

Natation (1500m) : 92ème / 315

Vélo (40km / D+ 750m) : 13ème / 315

Course à pied (10km / D+ 150m) : 7ème / 315

Classement complet scratch

Triathlon d'Aydat 2019 : Arrivée

Triathlon d’Aydat 2019 : Bilan

Voyants au vert, planètes alignées, peu importe l’expression, tout a fonctionné à merveille. Le genre de course que tu réalises une fois par saison.

Bonne gestion de l’effort, bonne gestion de l’alimentation, bonne forme, parcours correspondant à mon profil, et me voici à la tête de ma plus belle performance jamais réalisée en triathlon avec un premier Top 20 !

Si on regarde plus en détail, enfin une satisfaction en natation. Difficile de l’expliquer à coup sûr mais je pense pouvoir la mettre au crédit du dopage technologique ( tout à fait autorisé et réglementé je précise). Cette petite mise à niveau par rapport aux autres concurrents a semble t-il suffi à me faire gagner plus de 2 minutes par rapport à mes performances passées et être dans le 1er tiers du classement. A confirmer lors des prochaines échéances.

Sur le parcours vélo, une très bonne performance en décalage avec mes sensations. Je n’ai pas trouvé mon coup de pédale très efficace sur le 1er tour. J’ai eu de meilleures sensations sur le second tour, d’ailleurs est-ce pour cela que je n’ai pas faibli et réalisé a quelques secondes près le même temps ?

Trop exigeant, pas assez objectif ou réaliste, je ne sais pas, mais cette année je peine à retrouver un bon coup de pédale lorsque la route s’élève. Ça reste tout de même dans ces parties que je fais la différence.

Enfin, en course à pied, beaucoup de bon. J’ai rapidement trouvé mon rythme, je suis resté très relâché et sans réel faiblissement vers la fin comme cela se produit habituellement et naturellement. Je me paie le luxe d’un top 10 dans cette discipline, qui prouve donc bien l’adéquation entre le ressenti et la performance.

Alors si c’est parfait, je suis au maximum alors ? Pas loin je pense mais j’ai envie de croire que je peux encore mieux malgré mon âge avancé.

D’abord en natation, je découvrais mon nouvel équipement et je n’avais quasiment pas nagé les dernières semaines, donc un déficit de rythme.

Ensuite à vélo, il faudra voir si je peux franchir un palier dans les ascensions. Je vais m’y atteler rapidement car je dois préparer la Marmotte et ses HC ! Il me faudrait un 52 dents pour les portions roulantes, mais aucun investissement en vue de ce côté-ci.

Enfin, en course à pied, RAS, si peut-être essayer de se mettre minable à la fin et cramer l’énergie restante. Mais là, on touche au point faible, mon mental.

Ne rêvons pas, ce genre de course est déjà difficile à répéter, il faudra nécessairement composer avec la frustration encore cette année. Si déjà j’arrive à reproduire une nouvelle fois ce type de course ce sera parfait.

Dernier clin d’œil pour la famille qui m’a encore accompagné dans ma folie et copieusement encouragé ! Même le bourru était fier, c’est dire !

Et merci à Ninnie qui s’improvise à chaque fois photographe pour rapporter quelques souvenirs en image.

Au global que de plaisir sur cette épreuve, un WE improvisé qui ressemble à une soirée improvisée, souvent les meilleures !

Prochain rendez-vous

Cette fois, plus de blague, je vous donne réellement rendez-vous dans les Alpes du côté de Bourg d’Oisans le Dimanche 7 juillet 2019 pour une première expérience de la Marmotte Granfondo Alpes et ses cols mythiques du Tour : Glandon, Galibier et Alpe d’Huez ! J’en salive d’avance 🙂

9 réflexions sur “Triathlon d’Aydat 2019 – Distance M – Bienvenue en Auvergne !

  • C’est remarquable !! Félicitations et respect Man !!
    Gros bisous à toi et ta p’tite family 😘

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  • Erreur de ma part….. Top 10 pour la course à pieds et non pour le vélo!!!!….. mais cela ne change en rien ce magnifique résultat !!! Bises à tous.

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    • Oui course à pied, merci et je pense qu’il va falloir envisager de venir voir cela en réalité. Il y a 2 beaux rendez-vous à la rentrée, au Mont Ventoux ou dans le Var, c’est le moment !

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      • Il m épate..m épate il m épate ce yannou mais ou s arrêtera t il?
        Respect total.
        Jm

  • Bravo Yann !!! Quel superbe résultat. Top 20 au général !!! Top 10 pour le vélo !!! et enfin ce beau podium dans ta catégorie !!!!!. Plus que réussi ce triathlon.
    Et comme toujours un récit détaillé et très intéressant de cette épreuve avec de superbes photos ( de ta Ninnie préférée ) Superbe W.E sportif et familial. BRAVO !!!!

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  • Bravo Yann, un triathlon complet avec podium chez les papis, en plein progrès, content pour toi. Le travail paye.

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  • Encore un superbe résultat bravo! Moi j’attendais de la sueur et des larmes, ben même pas!

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    • La patate comme jamais mon ami, incroyable ! De la sueur, il y en avait regarde bien la transparence de la tri fonction à la fin 😄

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